Les député-e-s communistes, républicains, du parti de gauche se félicitent de l’arrêt du Conseil d’Etat annulant la décision du CSA sur la non prise en compte de la parole présidentielle dans l’audiovisuel.
La prise en compte de ce temps de parole est d’autant plus justifiée que le chef de l’Etat s’affirme chaque jour, et souvent avec véhémence, comme le patron de l’UMP. Il est d’autant plus urgent de poser clairement cette règle que, depuis la saisine du Conseil d’Etat, la main mise de Nicolas Sarkozy sur les différents moyens d’information s’est singulièrement affirmée avec notamment la nomination par l‘Elysée du Président de l’audiovisuel public ou celle du Président de la Haute Autorité pour la Diffusion des Œuvres et la Protection des Droits sur Internet (HADOPI)
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